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Les nouvelles érotiques de Lillie Rose

19 février 2012

L'Abbaye des s'offre à tous

La nuit commençait à tomber sur Lille lorsqu’Amélie s’éveilla. Elle travaillait la nuit en Belgique mais ce soir, se serait son dernier soir. Amélie avait maintenant assez d’argent pour partir dans le sud et ouvrir des chambres d’hôtes. Tout était prêt pour son départ dans 2 jours.  

Amélie se leva et se dirigea vers la  salle de bain. Elle n’avait plus le temps de prendre un bain elle se contenta d’une douche bien chaude. Elle s’habilla rapidement, prépara son sac et partit. Elle connaissait la route par cœur pour l’avoir faite tous les soirs durant 3 ans. La première fois, elle avait eu de l’appréhension, elle avait même faillit faire demi-tour. Avec le temps, son travail était devenu une routine dont elle s’accommodait assez bien. Elle savait que ce serait temporaire quand elle était trop fatiguée son rêve l’aidait à tenir.

Après 1 heure de route, Amélie gara sa voiture devant une maison en briques rouges avec un néon clignotant  sur lequel était écrit « Aphrodisiaque ».  Amélie aimait dire à ses amis : « Je travaille   dans une abbaye des s’offre à tous comme fille de joie ». Amélie n’employait jamais le mot bordel ou prostituée qu’elle trouvait trop vulgaire.  Elle entra par la porte de service et monta dans la chambre numéro 2. Comme tous les soirs, elle se prépara pour devenir Joséphine.  Pour sa  dernière nuit, elle avait choisi la sobriété, une nuisette bleue marine et des bas noirs. Elle descendit ainsi vêtu retrouver ses collègues. Beaucoup de filles venaient de France elles préféraient la sécurité de la maison close à la rue. Le vendredi soir, il y avait du monde, des hommes d’affaires français  surtout, qui venaient  prendre du plaisir avant de rentrer chez eux à Paris pour la plupart. La majorité des hommes étaient mariés et pour nombre d’entre eux, leur femme se contentait de s’allonger et d’écarter les cuisses afin que leur mari se satisfasse. Un client c’était confié à Amélie.

-          Ma femme n’a jamais été porté sur la chose j’ai au début prit sa pour de la timidité. J’ai essayé pendant quelques années de lui montrer qu’elle pouvait se laisser aller mais, Je ne suis même pas sur qu’elle est déjà éprouvé du plaisir. Nous ne faisions que très rarement l’amour. Elle refusait  que je caresse ses seins ou son sexe,  je devais me contenter de pénétrer sa fente  et rien d’autre. Pour ma femme, l’acte de chair n’est rien d’autre qu’un accouplement pour avoir des enfants le reste n’est que frivolité.

Un homme entra, la cinquantaine, en costume cravate couleur moutarde. Il était connu ici. Tous les dimanche soir et tous les vendredi soir, il arrivait à la même heure pour voir Suzie.  Suzie montait et les autres riaient car Suzie leur avait raconté ce qu’il se passait dans la chambre

-          Le type arrive et il vient tout de suite vers moi. Nous montons  sans nous parler. La porte de la chambre à peine fermée, il descend son pantalon et me  demande  de dire bonjour à l’ambassadeur. Il bande déjà comme un carme vous verriez ça. Tout juste, je commence  à lui faire la queue que déjà, il gicle. Ensuite, il va s’allonger et il demande à voir mon con. Je lui montre et il regarde tout en s’astiquant le membre.

 

Gigie descendit suivit de son client le sourire aux lèvres d’un homme qui vient de prendre son pied. Gigie était surnommée l’abatteuse  par les autres filles. Elle n’avait aucune limite il se murmurait même que ses clients venaient jouer des deux bouts avec elle car il la savait la plus ouverte.

 

Amélie fixait des limites. Elle n’aimait pas la violence et refusait que quiconque vienne la mignonner. Des hommes ne comprenaient pas, ils se rhabillaient en la traitant de pute et partait en claquant la porte. 

Comme toutes ses collègues, Amélie avait ses habitués. Il arrivait régulièrement que certains ne viennent que pour lui parler ou avoir un peu de tendresse sans forcément passer à l’acte. Parmi tous ces hommes, Amélie avait son favori.

 

Monsieur martin entra à 21h30 très exactement.  Il salua les femmes et prit place dans l’un des fauteuils rouge et noir. Aucune femme ne vint lui proposer ses services car toute savait qui il attendait. 15 minutes plus tard, Joséphine apparaissait. Il la vit, se leva et la suivit.

Monsieur Martin était un homme atypé doux, attentionné et il avait tout de suite jeté son dévolu sur Joséphine. Toute la semaine, il attendait ce moment où il pourrait la retrouver, la serrer dans ses bras. Il pensait à elle tous les soirs seul dans son appartement de Bruxelles brûlant de désir au point de devoir se masturber. Il fermait les yeux et s’imaginait qu’il la chevauchait, il voyait ses petits seins qu’il aimait prendre à pleine main. Il pensait à ses fesses dont elle refusait qu’il s’occupe pourtant, il aurait tellement aimé lui faire découvrir le plaisir d’une sodomie bien faite.

 

Joséphine de son côté, attendait aussi avec délice ce moment passé avec monsieur Martin. Leur rapport était très particulier, c’est le seul client avec lequel elle ne feintait pas. Monsieur Martin aimait prendre du plaisir mais il aimait aussi en donner et il était très doué. Elle l’autorisait à l’embrasser acte qu’elle refusait avec les autres.

Une fois la porte fermée, Monsieur Martin prit Joséphine dans ses bras et l’embrassa.

-          Bonsoir ma gosseline

-          Bonsoir Julien

-          J’ai rapporté le repas.

Comme toujours, ils mangèrent ensemble parlant de tout et de rien. Une fois le repas fini, monsieur Martin demanda.

-          Je voudrais voir ton orchidée.

Joséphine écarta doucement les jambes et releva sa nuisette. Monsieur Martin la regarda longuement puis il s’approcha afin de pouvoir humer son délicieux parfum. Il commença par caresser le bourgeon avec sa langue puis ouvrit l’objet du désir. Il introduisit ses doigts au plus profond des entrailles de Joséphine qui ne cessait d’onduler et fini par jouir plutôt qu’elle ne l’aurait voulu. Il s’arrêta, la regarda et elle comprit. Elle sortit la queue de monsieur Martin qui se dressait tel l’obélisque de Louxor. Elle prit le membre et le porta à sa bouche. Monsieur Martin aimait ce moment où Joséphine lui faisait une petite gâterie.

Il offrit sa semence à Joséphine et s’allongea sur le lit. Elle vint se poser à ses côtés. Ils restèrent là un long moment leur corps nu étendu l'un à côté de l’autre. 

-          Tu me fais du bien ma gosseline. J’aimerais t’emmener loin avec moi. Je te ferais l’amour encore plus fort.

Joséphine se serra contre lui elle était encre pleine de désir et lui aussi. Il lui demanda de venir sur lui elle s’exécuta. Son phallus n’attendait qu’elle. Elle le guida jusqu’à sa fente. Il frôla ses fripons avec ses mains puis avec sa langue tandis que Joséphine jouait des reins. Ils se connaissaient par cœur et ils eurent ensemble une fabuleuse extase.

Il était déjà tard quand monsieur Martin repartit. Comme toujours, Joséphine était  restée nue sur le dos le temps qu’il prenne une douche et se rhabille. Avant de partir, il déposa un doux baiser sur sa toison et s’en alla sans un mot.

Après son départ, Joséphine décida de ne pas redescendre dans le salon. Elle fit son sac et s’en alla sans même un au revoir pour les autres filles.

Quand il a su que Joséphine était parti, monsieur Martin a choisi de ne plus revenir à « L »Aphrodisiaque ». Il n’a tout de fois pas cessez ses plaisirs solitaires alimentés par le souvenir de Joséphine.

Amélie a laissé Joséphine et son travail comme fille de joie dans une abbaye des s’offre à tous mais continue à  donner et recevoir du plaisir juste pour le plaisir…

 

 

Tout droit de reproduction interdit. Droits d'auteurs réservés. Le 19 février 2012. Lillie Rose

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